Qu’on se le dise, la chirurgie esthétique n’est plus un tabou. Chacun souhaite désormais profiter le plus longtemps possible de sa jeunesse y compris au niveau du physique. Aujourd’hui, de plus en plus de femmes viennent consulter dans les cliniques spécialisées pour gommer les petits défauts de l’âge. Quelles sont les interventions les plus pratiquées à la quarantaine ?
Une préférence pour la médecine esthétique
Avant 50 ans, les rides ne sont pas encore très marquées et elles envisagent davantage des actes de médecine esthétique avant de se lancer dans des opérations plus complexes. À Paris, des praticiens se sont spécialisés dans les techniques non invasives pour obtenir des résultats réversibles et bien plus naturels. Par exemple, les injections de Botox ou d’acide hyaluronique se pratiquent de plus en plus pour ne pas avoir recours au lifting trop tôt.
Le choix de techniques plus douces
Avant de se lancer dans de grandes interventions du visage qui sont très lourdes de conséquences d’un point de vue physique et moral, les femmes préfèrent désormais consulter les chirurgiens qui pratiquent les injections de graisses corporelles préalablement prélevées par liposuccion sur le corps de la patiente. Ces techniques permettent de restaurer l’aspect pulpeux du visage pour obtenir naturellement une meilleure mine. Cette opération est également utilisée pour les augmentations ou les réparations mammaires.
Corriger par petites touches
Les premiers signes de l’âge touchent de petites zones du corps comme le contour des yeux, des lèvres, le cou ou encore les joues. Or la tendance actuelle est à la préservation des petites rides ou des défauts qui donnent du charme aux femmes. Par contre, certains signes de fatigue comme les cernes ou bien la perte d’élasticité de la peau au niveau du cou ou des pommettes peuvent être corrigés par de petites interventions localisées. Le résultat est naturel et les femmes se sentent rajeunir sans pour autant se sentir méconnaissables.